vendredi 12 septembre 2014

Publication dans "La Lettre de l'AIRDF"

 Lien vers la version pré-print de l'article: http://hal.univ-lille3.fr/hal-01375367/document

Extrait:
Beaucoup a été dit sur le partage du travail entre sociologie et didactique (voir Lahire, 2007) et sur la relative indifférence dans laquelle elles se tiennent mutuellement. On sait les limites d’un tel partage : la didactique ne se réduit pas, en effet, aux questions de transposition des savoirs, pas plus que la sociologie ne se limite à l’étude des structures sociales. Une fois ceci acquis, il est usuel de mettre en avant les différences accordées à « la place du savoir, des formes d’enseignement et des processus d’apprentissage au sein de deux disciplines » (Lahire, 2012). C’est cependant une autre dimension que je souhaite discuter ici, à savoir les manières respectives de construire le sujet (sujet didactique, acteur sociologique) dans les deux disciplines.

 Reférence: Fluckiger Cédric, (2014), L'apprenant en didactique est-il un acteur sociologique comme les autres ? Le cas de l'appropriation des TIC et de l'informatique, La lettre de l'AIRDF, juin 2014, p. 13-18.

jeudi 4 septembre 2014

Note critique: BOISSIÈRE Joël, FAU Simon & PEDRÓ Francesc. Le numérique une chance pour l'école Paris : Armand Colin, 2013, 240 p

Note parue dans la Revue Française de Pédagogie, n°186.
Lien vers la note de lecture: https://rfp.revues.org/4437

Revue française de pédagogie n° 186      Résultat de recherche d'images pour "Le numérique une chance pour l'école Paris : Armand Colin,"
Extrait:
"L'ouvrage constitue un plaidoyer scientifiquement étayé de ce que l’école peut et doit, pourrait et devrait faire, face à cette révolution du numérique. Ouvrage clairement militant donc, se concluant sur l’espoir que « ce livre devrait inciter » à « transformer et adapter une réalité protéiforme », mais dont la clarté d’exposition et la connaissance des domaines de recherche sur la scolarisation des technologies permet de balayer les idées reçues dans un domaine où les désirs institutionnels (destinés souvent à justifier des investissements répondant à d’autres logiques que strictement pédagogiques) et les discours médiatiques prennent souvent le pas sur les conclusions plus mesurées de la recherche."